Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (70)

Depuis que les hardeurs sont arrivés pour tourner le film qu’ils m’ont promis de m’offrir le jour de mon anniversaire les événements vus le nombre de personnes que nous sommes s’accélèrent surtout avec le chic que j’ai à trouver de nouveaux amis et amies.

Nous finissons de manger. Johnny monte sur l’estrade de nos ébats amoureux.
Il est petit et pour la première fois ils nous aperçoivent en vue plongeante.

• Première chose, j’ai filmé tout à l’heure les premiers ébats de votre couple d’amis les emmenant dans le monde du libertinage.
Tout est dans la boîte, mais avant de les exploiter dans le film au montage, j’ai besoin de leur accord dans le cadre de la loi sur le droit à l’image même si ce film n’a aucune vocation à se retrouver dans un réseau commercial.
Au temps d’Internet, il peut arriver qu’un film échappe à ses auteurs et je tiens à garder le droit d’exercer pour avoir oublié de vous avoir mis en garde.
• Johnny aucun problème, Jacqueline et moi nous te donnons notre accord, nous sommes prêts à te signer une décharge.
• Bon pour ce soir, Audrey tu repars avec le groupe de ce matin en ville.
La défection de Jean-Marie au sein de ton équipe m’oblige à changer mes plans, nous allons tous y aller ensemble et nous tournerons avec les deux caméras.
Aurélie, tu passes d’un travail de technicienne à celui d’actrice, si tu es d’accord bien sûr, tu seras la fiancée de l’inspecteur Régional joué par Jacky, je pense que ce sera un plaisir pour toi.
Au retour de la ville, nous passerons vers le petit port que nous voyons d’ici de l’autre côté de la plage où nous tournerons une ou deux scènes.

Le maître a parlé et tous nous nous dirigeons vers nos chambres pour nous préparer.
Nos nouveaux amis restent sur la terrasse leur effet ayant été correctement rangé sur une chaise.
Johnny nous fait sortir de la villa en prenant soin de faire passer ensemble en premier le groupe de fille qui officiellement est en vacances dans cette villa et que les inspecteurs soupçonnent d’être les meurtrières des cinq hommes sur la plage.


Elles s’exécutent.
Audrey est déjà dehors pour filmer.
Ils ont dû parler ensemble car au moment de sortir, il nous arrête.
Yann lui aussi certainement briffé quitte la villa en se cachant derrière un arbre près du portail.
Grand sportif nous le voyons par la fenêtre qui donne sur la cour sautée alertement par-dessus et partie en courant comme une personne qui se cache la conscience peu tranquille.
Nous partons toutes bras dessus bras dessous.
Arrivé à l’entrée de la promenade, Johnny nous arrête.

• Le groupe de filles, avancé devant nous d’une manière insouciante et installez-vous à la terrasse du café qui est devant nous.
Avant, Audrey emmène Aurélie, Jacky et Tof à l’autre bout de la plage, films en caméra cachée comme tu sais le faire si bien et revenez jusqu’au café.
Vous prendrez tous les trois une table à l’opposé de celle du groupe de filles.
Aurélie tu seras avec Jacky très amoureuse.
Je pense que tu auras peu à te forcer pour jouer le rôle, les autres attendez ici que je vous fasse signe de nous rejoindre.
Dernière recommandation contrairement à ce matin où je disais coupé quand Fabienne se faisait prendre dans la crique par ses amants finissants noyés, la prise doit être réussie du premier coup car il sera impossible de recommencer à cause du monde qui nous entoure.

Audrey devance la fin du speech de notre réalisateur favori pour partir prestement jusqu’au bout de la plage.
Lorsque son groupe est assez éloigné, Johnny nous fait démarrer.
Je prends les bras de Virginie et Anne et les autres en font de même.
Nous nous installons et Michelle nous reconnaît, elle vient m’embrasser et salue mes amies.
Où est Johnny je ne saurais le dire, mais je suis sûr qu’il doit faire tourner sa caméra sans louper une image de ce qui se passe.
Je vois les deux inspecteurs arriver, ou se cache Audrey, chapeau comme son patron impossible de la voir.

Ils s’installent et Aurélie vient poser sa tête sur l’épaule de Jacky.
Nous discutons entre nous comme le ferait un groupe d’amis contente d’être ensemble, ce qui est vrai pour nous toutes et ne gâche rien.
Michelle apporte la commande, je règle la facture.
Tout à coup, je vois sortir de la rue à quelques mètres de Nausicana, Yann avec Fabienne bras dessus, bras dessous.
Une table reste libre dans le dos des inspecteurs où ils s’installent et Fabienne avant que la commande soit prise embrasse le grand acteur.
Elle aussi semble amoureuse et la plénitude d’une femme qui vient d’avoir sa ration de bonheur se lie sur son visage.
Qu’est-ce que Johnny a encore inventé, je suis sûr qu’il a une idée en tête ?
Je suis impatiente de savoir laquelle.
Tout à coup Audrey est là, je la vois passer près de nous et faire des allers-retours. À aucun moment je n’aperçois la caméra. Elle passe et repasse son sac à main posée en bandoulière.
Tient Johnny passe-lui aussi, pas plus de caméra que pour Audrey.
Pour passer inaperçu et éviter les attroupements il a posé sur sa tête un bob qui lui mange le devant du visage.
Lors d’un de ces passages il passe discrètement auprès des trois groupes et nous donne le top départ pour partie en ville.

Chacun ayant payé ses consos, nous rejoignons le groupe qui nous attend au coin de la rue d’où Yann et Fabienne sont sortis.
La rue vers son milieu est relativement dans le noir, la lampe d’un réverbère est hors de service ce qui crée une zone d’ombre.

Johnny nous entraîne jusqu’à un portail dans la zone sombre.

• Fabienne et Yann voici ce que j’attends de vous.

Un technicien lui passe sa caméra habituelle et récupère son bob.
Audrey en a fait de même en lui rendant son sac en bandoulière.
Fabienne se déplace jusqu'au portail de la villa et met la main sur la poignée faisant croire qu’elle habite là.
Elle avance sur quelques mètres et subitement Yann sort de la zone d’ombre la plus noire et att notre amie d’un bras par la taille et la main de l’autre se pose sur sa bouche.


• Tu te tais où je te crève !

Les yeux de Fabienne montrent sa peur.
Quelle actrice.
Yann la pousse vers le poteau du réverbère H.S. et la plaque pour éviter qu’elle ne bouge.
La main posée sur sa bouche descend et vient passer sous sa mini lui prendre la chatte.

• T’es une salope, tu sors sans culotte.

Son regard montrant sa peur nous montre qu’elle est dans l’impossibilité de répondre.
Il remonte son bras sur ses seins, les extirpent de son chemisier.
Les obus de la salope que j’ai su transparaître en elle nous sautent au visage. Il les caresse et de la peur, elle passe à l’envi.
Elle pose ses mains sur le poteau et tend sa croupe en arrière. Dans le mouvement elle tourne légèrement sa tête et il lui dévore la bouche.
Il sort sa queue et se place pour lui enfourner.
La cochonne est en attente de ça. Elle donne un grand coup de cul pour le faire pénétrer.
Yann s’en donne à cœur joie dans sa chatte.
Le visage qu’elle nous présente est très significatif du paroxysme de la jouissance qui apparaît sur ses traits.
Après l’avoir labouré un très long moment et l’avoir fait grimper au poteau deux à trois fois, il la quitte, la retourne, lui appuie légèrement sur les épaules et quand la belle arrive à bonne hauteur, il lui enfourne sa très grosse bite au fond de la gorge.
Je vois Fabienne qui fait des efforts pour tous avaler, mais même avec toute sa bonne volonté le sexe arrive à entrer aux deux tiers de sa longueur.
Elle la fait sortir et entrer en la tenant dans sa main et d’un coup, elle la laisse à cinq centimètres de sa cavité buccale où nous voyons Yann lui déverser trois ou quatre giclées de sperme inondant en partie son visage.
Elle déglutit avec envie.
Sa bite remise dans son jean, Yann relève la femelle.
Il l’embrasse et ils partent comme deux amoureux vers le bar.
Johnny avait donc anticipé la scène de la terrasse en raccord avec celle qui vient de filmer dans la rue adjacente.

Les scènes seront inversées au montage, c’est tout à fait normal ça s’appelle du cinéma.
Nous reprenons notre chemin.
Arrivé devant la poste, Johnny remet son bob et Audrey son sac à main qu’elle replace en bandoulière.
Quelle cruche je fais, les caméras doivent être installées dans ces accessoires. Que n’y ai-je pensé plutôt !
Nous déambulons le long de la rue principale sans trop nous soucier de qui est avec qui. Johnny et Audrey récupéreront les images concordantes avec le fil conducteur qu’ils développeront.
Je suis avec Madeleine, Aline et Valériane qui tient à apparaître sur mon film et désire participer à des scènes surtout avec Véronique et Marie-Ange.
Plus de Johnny, plus d’Audrey, ils sont de nouveau invisibles.
Faisons-nous des actions même pas filmées par nos deux réalisateurs mais peu importe Johnny connaît son boulot et je suis sûr que tous nos faits et gestes se retrouveront sur mon CD.
Un moment je croise Anne avec Adonis sortant de la rue longeant la pharmacie. Il la tient son bras autour de son cou et lui fait remonter la rue vers le marché.
Dommage, je suis certaine que nos cameramen ont loupé une scène chaude dans cette rue.
Erreur, Audrey sort derrière eux et me voyant elle nous emboîte le pas. J’emmène les filles vers la boutique du confiseur.
Le spécialiste prépare de la guimauve saveur menthe.
Nous attendons qu’il ait fini et que la vente commence tout en rigolant avec les personnes qui sont autour de nous.
D’un coup je sens la main assez massive passer sous ma jupe et venir me caresser la chatte qui comme depuis que j’ai jeté ma petite culotte par la fenêtre de la voiture en quittant Frédéric et Frédérique est nue.
Les deux doigts qui me pénètrent viennent rapidement caresser mon clito et je sens que je vais jouir au milieu de tous ces gens alors que l’assistante du confiseur me demande ce que je veux.

• Une menthe s’il vous plaît…

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